José María de Pereda y Sánchez Porrúa est née à Polanco le 6 février 1833 et il est mort à Santander le premier Mars 1906.
Il a été un auteur de romans espagnol du mouvement réaliste.
Ses plus importantes œuvres sont “Sotileza”, “Peñas Arriba”, “De tal palo tal
astilla” et “La Puchera”; œuvres que lui donneront une grande reconnaissance et
pour les quelles (en 1872) il a été un correspondant à la Royale Académie
Espagnole. Ses parents ont étés Juan Francisco de Pereda et Bárbara Josefa
Sánchez Porrúa originaires de Polanco et Comillas respectivement. Quand il
avait 11 ans à l’année 1843, il á été déjà un élève à l’institut dans lequel
Menéndez Pelayo, Gregorio Marañón et Gerardo Diego ont aussi étudié. Pendant le baccalauréat il a été un moyen
étudiant plus aimant de la chasse, la pêche et la vie en contact avec la nature que d’autres dédicacions.
En finissant les études d’Humanités, en automne de 1852, il
a déménagé à Madrid avec l’intention de faire les études préparatoires pour
être accepté à l’Académie d’Artérielle de la ville dé Segovia. Des années
partie de sa vie il dirait qu’il a commencé à Madrid : ‘Une carrière
scientifique que je ne pas conclu à cause d’une faute de vocation pour ça.’
Il est retourné à Santander en 1855, sa mère est morte et il a pris un peu plus tard le cholera. A cause de ces choses il a été déprimé et triste, même quand il a été cap cible de se restaurer de sa maladie.
L’année suivante une neurasthénie l’a pris et lui a laissé
sans désir de rien faire et sa famille a été obligé de l’envoyer en Andalucía
où il est resté un part de l’année 1857. Quand il a apparu à Santander le
journal « L’Abeille Montagnarde » il commence une carrière journalistique. Là
il a publié sans signature ou, surtout, avec le pseudonyme Paredes, des
critiques théatrales et des petites essaies costumbristes (mouvement qui
représentait dans ses œuvres les habitudes de la population). Aussi il a fondé
en 1858 le semanal « L’oncle Cayetano ». il essaie le théatre avec les œuvres :
‘Tanto tienes, tanto vales’ (1861), ‘Palos en seco’ (1861), ‘Marchar con el
siglo’ (1863) et ‘Mundo, amor y vanidad’ (1863), avec peu de chance. Ces œuvres
ont été publiées en 1869 avec le titre Essais Dramatiques.
On étant correspondant de la Royale Académie Espagnole dès
1872, en février 1897 il a lu son
discours comme numéraire. Ses œuvres les plus importants sont : ‘Escenas
montañesas’ ‘El Museo Universal Escenas de la vida, colección de cuentos y
cuadros de costumbres’, ‘Blasones y talegas’, ‘Los hombres de pro’ (celle là
est orientée à sa vie politique), ‘Sotileza’ et ‘Peñas Arriba’. Ses œuvres sont
caractérisées par être adaptées à la montagne à l’exception de l’œuvre ‘Sotileza’.
Dans son honneur une rue a été dédiée a lui dans la ville de
Torrelavega.
No hay comentarios:
Publicar un comentario